Face à l’urgence climatique, les discours alarmistes et les images apocalyptiques ne mobilisent plus. Pire, les climatosceptiques gagnent du terrain. Dans ce contexte, Greenpeace France et la chose lancent une campagne institutionnelle qui revisite la crise écologique au prisme du film de genre et redéfinit positivement le rôle de l’ONG.

En s’associant au réalisateur français Alexandre Courtès (Au service de la France, clips de Justice, Kylie Minogue ou Daft Punk), la chose présente trois films à la tonalité acide et décalée qui mettent en lumière trois réalités aussi absurdes que véridiques : la pollution plastique, la déforestation et notre addiction aux énergies fossiles. Cette saga suscite une prise de conscience collective et mobilise de nouveaux publics afin d’écrire un meilleur scénario pour demain.

Déclinés en formats de 20 et 30 secondes, cette trilogie choisit l’humour pour déculpabiliser et rassembler autour d’un même objectif : changer le scénario.